30 juillet 2007
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19:26
CAMILLE AU PORTUGAL
Je me surprends à écrire "Camille au Portugal" parce que je pense à "Poly au Portugal". Certains doivent se souvenir de ce petit poney célèbre et intelligent, crée par Cécile Aubry, et dont les aventures ont bercé l'imaginaire des gens de mon âge.
Je garde donc le titre... Pour les nostalgiques. Pour les autres, voir l'encyclopédie "Wikipédia"..., il doit certainement y avoir une note...
Camille tient son journal de bord, sa feuille de route. Je ne me fais donc aucun tracas en ce qui concerne son odyssée littéraire.
C'est curieux comme j'ai l'impression d'être en vacances auprès d'elle, alors que je suis resté au port pour mettre en radoub mon navire...
A la rentrée, m'est avis que vous aurez droit à un blog de Camille... "Quelque chose d'elle..."
Aujourd'hui. 17 heures. Mon télephone sonne. Je décroche. De la grande musique me parvient dans l'oreille. J'écoute avec ravissement. Je crois savoir d'où ça vient ; ça n'a pas la férocité de la vente par prospection et matraquage. Je vais jusqu'au bout, c'est-à-dire jusqu'à des applaudissements nourris. Et mon téléphone fait "bip bip". Y'a rien à vendre.
Camille me rappelle. Elle se trouve au Paradis d'où elle m'a fait partager un "Avé Maria".
En fait, elle se trouve au monastère de Alcobaça, où, tenez-vous bien, l'on ramena la dépouille d'Inès de Castra, reine de beauté, belle au col de cygne, décapitée parce qu'elle avait été adultère...
Une fois morte, le roi du Portugal ordonna à tous ses sujets, fidèles et adultérins sans distinction, de venir baiser la main de cette tête couronnée...
Mon grand ami Henry de Montherlant s'en est inspiré pour écrire une petite pièce, "La Reine Morte", oh, trois fois rien, une petite bagatelle jouée à la Comédie Française avec Madeleine Renaud...
Je me surprends à écrire "Camille au Portugal" parce que je pense à "Poly au Portugal". Certains doivent se souvenir de ce petit poney célèbre et intelligent, crée par Cécile Aubry, et dont les aventures ont bercé l'imaginaire des gens de mon âge.
Je garde donc le titre... Pour les nostalgiques. Pour les autres, voir l'encyclopédie "Wikipédia"..., il doit certainement y avoir une note...
Camille tient son journal de bord, sa feuille de route. Je ne me fais donc aucun tracas en ce qui concerne son odyssée littéraire.
C'est curieux comme j'ai l'impression d'être en vacances auprès d'elle, alors que je suis resté au port pour mettre en radoub mon navire...
A la rentrée, m'est avis que vous aurez droit à un blog de Camille... "Quelque chose d'elle..."
Aujourd'hui. 17 heures. Mon télephone sonne. Je décroche. De la grande musique me parvient dans l'oreille. J'écoute avec ravissement. Je crois savoir d'où ça vient ; ça n'a pas la férocité de la vente par prospection et matraquage. Je vais jusqu'au bout, c'est-à-dire jusqu'à des applaudissements nourris. Et mon téléphone fait "bip bip". Y'a rien à vendre.
Camille me rappelle. Elle se trouve au Paradis d'où elle m'a fait partager un "Avé Maria".
En fait, elle se trouve au monastère de Alcobaça, où, tenez-vous bien, l'on ramena la dépouille d'Inès de Castra, reine de beauté, belle au col de cygne, décapitée parce qu'elle avait été adultère...
Une fois morte, le roi du Portugal ordonna à tous ses sujets, fidèles et adultérins sans distinction, de venir baiser la main de cette tête couronnée...
Mon grand ami Henry de Montherlant s'en est inspiré pour écrire une petite pièce, "La Reine Morte", oh, trois fois rien, une petite bagatelle jouée à la Comédie Française avec Madeleine Renaud...