31 octobre 2007
3
31
/10
/octobre
/2007
19:59
Cette page de carnet
est dédiée à Laurence,
de la maison Jean Gaborit.
Je maintiens que cette entreprise fabrique des bottes et des cuissardes belles à tomber, à en pleurer.
Je persiste et je signe.
est dédiée à Laurence,
de la maison Jean Gaborit.
Je maintiens que cette entreprise fabrique des bottes et des cuissardes belles à tomber, à en pleurer.
Je persiste et je signe.
"Les filles
qui ne posent pas de question"
qui ne posent pas de question"
Je ne vais toujours pas danser le samedi soir : le complexe en profite pour
prendre de l'ampleur. Je n'use les semelles que sur le linoléum de ma chambre, ma "boite d'ennui".
Est-ce lui, l'ennui, qui va conduire mes pas chez les filles qui ne posent pas de questions ?
De maigres économies me permettent de faire un voyage rapide à Paris, en chemin de fer, pour assister au spectacle du Cirque de Pékin, au Palais des Congrès. Et aussi pour m'échapper de "l'accablante ruralité".
Je ne sais pourquoi Paris m'a toujours fait des signes amicaux. Je "montai" donc dans la capitale pour voir le cirque de Pékin, superbe, avec ses gymnastes, ses artistes d'agileté et ses animaux symbolisés.
Mais les attractions n'étaient pas toutes au cirque.
Une promenade de piéton de Paris réussit à m'en convaincre, s'il en était encore besoin.
La rue Saint-Denis, dont la réputation n'est plus à faire, offre un étourdissant aperçu de ce que le sexe peut engendrer : des commerçantes pour consommateurs pressés ou mal informés. J'en étais.
Je négociai les charmes de celle qui avait fait l'objet de mon choix : il fut mauvais.
Expéditive et peu amène, la fille, devant l'absence de participation de mon sexe, me renvoya avec mes gros sabots dans ma campagne.
Ce nouvel échec m'éprouva beaucoup.
Dans un square de la capitale, sur un banc public, là où d'autres se bécotent, je ruminai mon chagrin d'amour sans amour.
Jamais, non, jamais, je n'arriverai à le faire.
Pourquoi donc ne m'en avait-on pas parlé ?
Est-ce lui, l'ennui, qui va conduire mes pas chez les filles qui ne posent pas de questions ?
De maigres économies me permettent de faire un voyage rapide à Paris, en chemin de fer, pour assister au spectacle du Cirque de Pékin, au Palais des Congrès. Et aussi pour m'échapper de "l'accablante ruralité".
Je ne sais pourquoi Paris m'a toujours fait des signes amicaux. Je "montai" donc dans la capitale pour voir le cirque de Pékin, superbe, avec ses gymnastes, ses artistes d'agileté et ses animaux symbolisés.
Mais les attractions n'étaient pas toutes au cirque.
Une promenade de piéton de Paris réussit à m'en convaincre, s'il en était encore besoin.
La rue Saint-Denis, dont la réputation n'est plus à faire, offre un étourdissant aperçu de ce que le sexe peut engendrer : des commerçantes pour consommateurs pressés ou mal informés. J'en étais.
Je négociai les charmes de celle qui avait fait l'objet de mon choix : il fut mauvais.
Expéditive et peu amène, la fille, devant l'absence de participation de mon sexe, me renvoya avec mes gros sabots dans ma campagne.
Ce nouvel échec m'éprouva beaucoup.
Dans un square de la capitale, sur un banc public, là où d'autres se bécotent, je ruminai mon chagrin d'amour sans amour.
Jamais, non, jamais, je n'arriverai à le faire.
Pourquoi donc ne m'en avait-on pas parlé ?
"Je ruminai
mon chagrin d'amour
sans amour"
mon chagrin d'amour
sans amour"
-----
Brèves :
Brèves :
J'AIME LES COUPS...
... de fil sympas.
Avec l'ordinateur "Marthe Fauré", j'avais presque oublié qu'il existait des téléphones.
Coup de fil sympa de Didier Albert, directeur du Théâtre de Poche : il va fêter les 10 ans de son théâtre. Il veut organiser des lectures-spectacles. Il me demande s'il peut donner un de mes textes.
Coup de fil sympa de Yoann Hervein, de France 2 (ex Pink TV, (Yoann, pas France 2 !) : Il prépare un sujet sur le fétichisme pour la nouvelle émission "Tabous", diffusée deux fois par mois en deuxième partie de soirée et il recherche un fétichiste.
C'est Jean Streff et Catherine Robbe-Grillet qui lui ont soufflé mon nom. Mon égo s'hypertrophie. Nous sommes en "repérages". Je ne sais pas si l'émission se fera.
Coup de fil sympa à Catherine Robbe-Grillet (Jeanne de Berg) : C'est toujours un honneur et un bonheur de converser avec elle. Elle me parle d'Aurora.
Coup de fil sympa à Sylvie Roux, de "La Dépêche du Midi". Elle prépare un papier sur le fétichisme. Il est "listé" dans les sujets à traiter de la rédaction. Je lui demande si elle n'a pas peur du prude "Courrier des Lecteurs". C'est difficile de faire un papier sur le fétichisme, en province... On doit se voir...
Coup de fil sympa à Jean Streff : J'aime toujours sa liberté de ton. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages-culte : "Le masochisme au cinéma" et "Le traité du fétichisme à l'usage des jeunes générations". Je suis heureux qu'il fasse partie du jury du Prix Sade.
JF
Avec l'ordinateur "Marthe Fauré", j'avais presque oublié qu'il existait des téléphones.
Coup de fil sympa de Didier Albert, directeur du Théâtre de Poche : il va fêter les 10 ans de son théâtre. Il veut organiser des lectures-spectacles. Il me demande s'il peut donner un de mes textes.
Coup de fil sympa de Yoann Hervein, de France 2 (ex Pink TV, (Yoann, pas France 2 !) : Il prépare un sujet sur le fétichisme pour la nouvelle émission "Tabous", diffusée deux fois par mois en deuxième partie de soirée et il recherche un fétichiste.
C'est Jean Streff et Catherine Robbe-Grillet qui lui ont soufflé mon nom. Mon égo s'hypertrophie. Nous sommes en "repérages". Je ne sais pas si l'émission se fera.
Coup de fil sympa à Catherine Robbe-Grillet (Jeanne de Berg) : C'est toujours un honneur et un bonheur de converser avec elle. Elle me parle d'Aurora.
Coup de fil sympa à Sylvie Roux, de "La Dépêche du Midi". Elle prépare un papier sur le fétichisme. Il est "listé" dans les sujets à traiter de la rédaction. Je lui demande si elle n'a pas peur du prude "Courrier des Lecteurs". C'est difficile de faire un papier sur le fétichisme, en province... On doit se voir...
Coup de fil sympa à Jean Streff : J'aime toujours sa liberté de ton. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages-culte : "Le masochisme au cinéma" et "Le traité du fétichisme à l'usage des jeunes générations". Je suis heureux qu'il fasse partie du jury du Prix Sade.
JF