30 novembre 2007
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Je donne "carte blanche" à Camille :
J'ai toujours pensé que Joël était un original, un être atypique, un mutant ? Mais de là à m'inscrire dans Libération...
Je vous dois donc, à vous qui avez couru chez votre marchand de journaux pour y lire une exclusivité à 1 euro et 20 centimes, ce dialogue de notre première rencontre téléphonique:
"Allô , Ici Joël Fauré. Alors, il paraît que vous écrivez ? Mais d'abord, est-ce que vous lisez ? Car les gens d' aujourd'hui écrivent mais ne lisent plus bla bla bla...Vous souffrez de toc
?
Alors vous êtes quoi vous ? Une laveuse ? Comme la plupart des femmes ?Vous lavez le corps, les MAINS, la maison ? bla bla bla...
(Des gens entrent dans son bureau: "Entrez, je suis à vous, c'est une conversation importante, je suis à vous tout de suite!"
-Mais, je peux vous laisser si vous avez du travail...
-Non non, ne vous inquiétez pas, c'est sans importance, continuons, vous disiez ?
- ?
-Bla bla bla...
-Mais vous ne travaillez pas là et les gens attendent, vous leur mentez !
-Beu Heuuu...
-Ah, je vois que je vous trouble... Aurais-je touché un point faible ?
-Bla bla bla
-Bla bla bla.)
Une fois le téléphone raccroché:
C'est quoi ce mec ? J'ai mal répondu, toc toc. Il a dû me trouver bête, toc toc. Il a l'air sûr de lui, toc toc toc... Il faut que je le rappelle pour lui faire meilleure
impression, toc toc ! Camille C.
Raoul Jefe
29 novembre 2007
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Flyer pour un cahier "Villes" de "Libé"
Line Rossignol / Vu
Bienvenue aux lecteurs de "Libération"
Raoul Jefe
29 novembre 2007
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"L'insolite me hantait
L'insolite me hantait. Il s'appelait, on le sait
sadomasochisme. Je ne l'avais jamais totalement assumé. Du conflit fascination/répulsion était né le refoulement et l'angoisse.
Pourtant j'utilisai les services d'une messagerie vocale où transitaient les propositions les plus diverses et, je dois le dire, pas les plus riches en précautions de vocabulaire. Dans
l'habitacle d'une cabine téléphonique -qu'il faudra un jour classer monument historique !- je décrochai le combiné et enregistrai le message suivant : "Jeune homme fétichiste cuir et
cuissardes, recherche dominateur, dominatrice, soumis ou soumise." Suivait le numéro d'appel de ladite cabine.
Une prompte réponse m'obligea. C'était une très agréable voix de femme, toute pétrie de sensualité. Nous nous jaugeâmes. Nous parlâmes longtemps. Elle avait été intriguée par ma voix, par ce
"je ne sais quoi" qui peut déplaire ou séduire.
Qui était-elle, cette inconnue, tenue, ténue par un fil, dont la chair, le corps, la bouche, les lèvres n'étaient que vibrations électroacoustiques ?
Notre intimiste conversation à bâtons rompus m'apprit qu'elle vivait dans une ville célèbre pour ses tours et ses créneaux à prendre, qu'elle adorait faire l'amour sans trop de routine ni de
conventions. De plus, elle avait de la conversation.
Je crois que, d'abord, nous nous plûmes intellectuellement en échangeant nos timbres.
Nous nous fixâmes un rendez-vous fragile pour le lendemain. Pour l'instant, pas question qu'elle me donne son numéro de téléphone ; pas question que je lui donne le mien. Un rendez-vous fragile
: demain, à 18 heures précises, elle me rappellerait dans cette même cabine. A quoi ça tient ? Il suffisait que des vandales la saccagent pour qu'une histoire naissante fût tuée dans l'oeuf.
Plus aucun autre moyen de retrouver l'inconnue du clair de lune. Hormis les grandes manoeuvres, "Interpol", les renseignements généraux et le journal "Libération" !
Les vandales ne détruisirent que quelques stéréotypes et laissèrent la cabine à l'essayage de la ponctualité.
A 18 heures pécises, la sonnerie retentit. C'était elle, l'amie-voix.
Et nous reprimes l'échange, tout en finesse, ciselé ; du cousu main. Ce n'était pas de la gnognotte ; ce n'était pas de la parlotte.
Nous avons installé un fil entre nous. Nous avons inscrit en quelque endroit puis dans la tête les huit chiffres de nos téléphones respectifs.
Vint l'instant crucial où "nous offrîmes nos dermes au champ visuel".
Elle aurait une jupe en cuir...
Une rose rouge pour cierge de communiant, je me rendis à ce rendez-vous insolite.
Elle était là. Femme mûre dans l'éclat de la quarantaine, pas du tout conforme à l'idée que je m'en étais faite !
J'ai vécu, avec cette passionnée ô combien expérimentée, les moments les plus pédagogiques de ma carrière de "séducteur". Elle était goulue, avide des plaisirs de la chair, professant à pleine
bouche les disciplines écolo-bucco-génitales.
Elle avait accepté mes TOC, mon psoriasis ; elle m'avait écrit de langoureux poèmes ; je l'avais entrainée dans "la boutique du centre-ville dont la vitrine reflétait le cuir de bottes à
longues tiges..."
Mais le plus extravagant de cette histoire, c'est que jamais, jamais nos rapports n'ont été régis par le prétexte qui les avait suscités.
Jamais nos rapports
n'ont été régis par le prétexte
qui les avait suscités..."
EXCLUSIF :
Retrouvez "A-propos-de-bottes.over-blog.fr" demain dans les colonnes de "Libération"
... pour que tout ceci reste "ENTRE NOUS"...
Raoul Jefe
28 novembre 2007
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"Je suis terrorisé
par l'argent.
Je suis terrorisé par l'argent. Mes rapports avec
lui sont des plus tumultueux. J'ai une peur panique à l'idée d'ouvrir l'enveloppe qui contient le relevé des mouvements bancaires. Bien souvent, pour couper court, je ne l'ouvre pas. J'ai une
angoisse après chaque paiement, aussi minime soit-il ; après un retrait -le retrait en d'autres circonstances est protecteur-. Et pourtant, je ne pense pas être radin. Que Dieu ou Diable m'en
préserve.
Pour contrecarrer la crainte de "manquer", il m'arrive de jouer les cigales et d'avoir le billet facile, mais toujours en sachant raison garder. Pour faire la nique aux empêcheurs de vivre en
rond.
L'argent reste un motif anxiogène.
Du plus loin qu'il m'en souvienne, à peine et à jamais structuré (et édifié) sur l'architecture pécuniaire, je l'ai toujours vomi. Au grand désespoir de ma mère qui, en voulant me cabosser à
son modèle -sur ce plan-là, en tous cas-, m'a fait tomber dans l'excès contraire. Il faur dire que mon père, rapportant ses modestes salaires, n'a jamais su actionner les cordons de la bourse,
pas même en répartir judicieusement le contenu ; encore moins rédiger un chèque. Il abandonna à sa femme le soin de porter la culotte. Elle s'en acquitta non sans moultes préoccupations qui
sont à la source, il me semble, de sa peur obsessionnelle d'être en manque.
Je me souviens du passage du facteur, oiseau de mauvaise augure, porteur de factures (avez-vous remarqué que l'anagramme de facteur est "facture" ?) Ma mère les ouvrait impulsivement et
rentrait dans des transes indescriptibles. J'assistai impuissant au saignement à blanc de la famille !
Longtemps sans autonomie financière, j'étais un poids mort à la charge de la gestion maternelle et de la cellule de crise familiale.
Dès que j'ai pu faire bruire les premiers billets que j'avais gagnés sans tirage au sort, à la sueur de mon front, la mise en garde a été implacable : "Fais attention à l'argent ! Regarde
où tu le passes ! Ne le jette pas par la fenêtre !"...
Sans aucun goût de luxe, les directives ne restèrent pas lettre (chiffre ?) morte...
Pourtant, le passage, à midi passé de l'oiseau de mauvaise augure laissa les traces de ses serres : le mauvais pli de l'assureur, ou celui du percepteur, dont j'étais le destinataire, faisaient
basculer ma mère dans des transports douloureux.
Sans rouler sur l'or, mes parents n'ont jamais eu d'ardoise.
On se souvient de ma difficile intégration dans la vie sociale et professionnelle.
Chômeur, RMIste de la première heure, mes revenus riment avec menus. Je n'ai pas un sou vaillant. Ma mère puise dans son escarcelle pour parrainer l'achat d'un dentifrice ou d'un
pull-over.
Au fur et à mesure que mon bas de laine s'alourdit un peu, aux périodes bénies de
travail, ma mère pointe un index réprobateur sur les achats que je hasarde : un journal et un crayon. C'est un journal et un crayon de trop ! D'où que je revienne, j'entends cet écho qui
résonne et m'assourdit : "Combien tu as payé ?" Je ne garde pas le souvenir d'un seul repas où, entre le pilchard aux oignons et le roquefort, n'ait pas été abordé le thème bassement
matérialiste de l'argent : l'argent brillait par son absence et les absents ont toujours tort.
L'argent brillait
par son absence
et les absents
ont toujours tort."
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Brèves :
LA DISPARITION
Pas facile, non, vraiment, pas facile de composer un texte sans "e", à la manière de mon ami Georges Pérec, que j'ai très bien connu.
Et quand on supprime les "e", qui sont de véritables juridictions de proximité, voilà ce que ça donne :
"Ah, Rachida ! C.A. d'ac ; T.I. tri ! Tir ! Rachida dit : "chat ici ira "dard-dard" à dada.
Car Rachida, D.R.H. tact tari, traita ici, hâta hard.
Ca tardait, ça ?
Cri hardi ! car Rita ira ric-rac hair ta cata."
Jo.l Faur.
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EXCLUSIF !
"A-propos-de-bottes.over-blog.fr" vendredi 30 novembre dans les colonnes de "Libération"
Raoul Jefe
27 novembre 2007
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Photo PC
"Je suis incapable de fermer une enveloppe."
Joël Fauré (Carnets)
Raoul Jefe
27 novembre 2007
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20:21
"Je suis incpable
de fermer une enveloppe
Les
compulsions de vérification ont pris une dimension effarante. Elles envahissent l'élémentaire routine tout en l'invalidant : je suis devenu incapable de fermer une enveloppe, cloué par le doute
qu'elle contient un document compromettant, ou que son contenu ne concerne pas le bon destinataire.
Je suis amené à rédiger plus de cinq fois une adresse ou un mot mal "graphiés". J'ai allégué un "sens magique" à certains chiffres (le six (6), chiffre du Diable) et à certaines lettres :
le "Q", c'est le cul, c'est-à-dire l'interdit, le sale ; sa queue ne doit pas être tordue, son rond se doit d'être parfaitement fermé ;
le "O" se doit d'être hermétiquement clos, bien bouclé (le "O", c'est ma tête ouverte qui laisserait s'échapper neurones et cellules grises.) ;
le "R", c'est l'air, et je vais certainement en manquer jusqu'à l'étouffement ;
le "H", c'est la hache qui me tranchera la gorge ;
le "S", -c'est le SIDA- exige qu'il ne soit ni trop ni trop peu crochu ;
et je ne saurai oublier de bien mettre les points sur le "I" faute de quoi ma souffrance sera insoutenable et ma fin proche.
Je ne peux plus travailler décemment. Les troubles obsessionnels compulsifs, devenus très sévères et invalidants justifiaient une hospitalisation en milieu psychiatrique.
A la même époque où la nature présentait sa gamme de couleurs automne-hiver, je confiai la mienne aux bons soins d'une clinique spécialisée pour panser les bleus de l'âme et chasser les
dragons.
Une clinique verte et blanche, verte comme l'herbe, les feuilles, les bancs ; blanche comme la blouse des infirmières, les draps de lit, le papier blanc...
Une clinique
verte et blanche..."
Raoul Jefe
26 novembre 2007
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"Toulouse-Lautrec,
Schubert et Schumann
me tendaient un miroir...
Lecture. Similtudes. Nouvelle rafales de tempêtes.
Il y eut encore d'autres bourrasques. C'est un peu comme si je me documentais au maximum pour soutenir une thèse sur la folie. Y-a-t-il eu complaisance sur le sujet ? Ces feux nourris
s'attisaient, éclaboussaient tout le reste. Althusser, Toulouse-Lautrec, Schubert et Schumann se laissaient raconter, avec leurs doutes, leurs troubles, et leurs
histoires me faisaient intensément peur. Ils me tendaient un miroir. La solitude, la frustration, la carence affective ne détériorent-elles pas la santé mentale ?
Assurément, le facteur temps avait aussi son mot à dire : que d'années perdues, gâchées.
Bilan. Sexe. SIDA. Peur du mal et mal de la peur. Althusser. Spasmophilie. Folie. "Spasmopholie". Manèges ivres. Je répète, vérifie ; vérifie, répète, dans un "accaparemental"
infernal... Une chasse aux angoisses à l'aide d'armes dérisoires : des gestes, des paroles, toute une scénographie de mauvaise opérette.
J'ai vraiment très peur et je veux sortir du labyrinthe. On a beau "se faire une raison", "se dominer", le mal, pervers, ronge et possède même les plus forts. Il rendait légitime une
consultation chez un spécialiste.
Devant la psychiatre, je m'épanchai en lui donnant l'adresse des démons qui m'habitaient. Je pus enfin mettre un nom sur les troubles répétitifs, les "manèges ivres", les assaillants, les rites
de "rassurement", de "rassurance"...
Le dicionnaire dit : Compulsion : force intérieure par laquelle le sujet est amené irrésistiblement à accomplir certains actes, et à laquelle il ne peut résister sans angoisse.
En termes plus lapidaires et martelés, on appelle ça des "TOC" (Troubles Obsessionnels Compulsifs), et c'est bigrement embêtant.
Il fallait, à présent que l'on avait calibré et intitulé les "choses", les bouter hors de soi. Je partis donc à la chasse aux TOC.
Elle n'est pas de tout repos.
On appelle ça des "TOC"
et c'est bigrement embêtant."
Raoul Jefe
25 novembre 2007
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"Je vis tomber en lambeaux
des pans entiers de mon passé
qui tombaient en pluie acide.
Voici détaillée par le menu la génèse de ma nouvelle hantise : la peur de la folie. Une ronde de mots commença à se former dans mon esprit : démence,
hystérie, névrose, psychose, schizophrénie, délire... Mais ce qui me terrifia, c'est ce qu'il me fut donné de vivre les jours qui suivirent ma funeste lecteure et ma "rencontre" avec
Althusser. Je perdis tout appétit,
et, l'humeur sombre, la bile noire, je vis tomber en lambeaux des pans entiers de mon passé qui tombaient sur moi en pluies acides : le sexe, les putes, le fétichisme, les petites annonces, les
chevaliers d'Eon : autant d'extraits de ma vie qui, l'esprit en escalier, se ravisaient et s'effrayaient de s'être laissés vivre. Tout ce qui fut, à un moment donné, attractif devint répulsif.
Manichéen, il me semblait avoir commis des actes répréhensibles. Je me promulguais voleur, violeur, meurtrier, assassin, égorgeur, étrangleur... J'étais coupable de tous les faits-divers de la
planète, et surtout ceux à caractère sexuel. On allait m'arrêter, me confondre, m'enfermer. Mon sommeil fut troublé de rêves dont je garde souvenance (pour les avoir notés) : Un chien, un
terrible molosse, tenait absolument à me mordre ; j'étais dans un train, affecté au classement d'archives (!), je me trouvais seul dans un wagon, et tout au bout, le canon d'une arme dépassait
d'un trou : si je n'avais pas terminé le classement dans les temps "réglementaires", j'étais exécuté. Des terreurs diurnes me saisissaient aussi, et je les "vivais" en toute conscience ; je les
"imaginais" très fort surtout : des maisons allaient s'effondrer, s'engloutir sous la terre ; j'allais être enseveli sous un immense tas de sable ; il me semblait qu'un homme allait me
poursuivre avec un grand couteau ; toutes les camionnettes, tous les campings-cars me rappelaient la prostituée qui officiait dans un véhicule semblable.
Elève doué pour les scénarios-catastrophes. Des peurs à la frontière de la panique. Le cyclone Althusser avait fait bien des ravages ; il avait en fait été le révélateur d'une profonde
fêlure.
L'extérieur, la vie à l'état brut, regorgeait maintenant de prétextes anxiogènes.
Elève doué pour les
scénarios-catastrophes"
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Brèves :
Faisons un rêve.
De mes nuits agitées, passées à me battre avec des dragons et des soldats, ou à visiter d'étranges nécropoles, à faire d'étranges rencontres dans d'étranges situations, j'ai
capturé au réveil quelques fragments de détails.
Dans la page de "carnets" de ce jour, on peut en retrouver quelques uns.
Depuis 1995, je consigne régulièrement tous mes rêves. Et c'est... très intéressant !
Mon camarade Federico Fellini, que j'ai très bien connu, à fait la même chose, entre 1960 et 1982.
" Ses songes [de Fellini] étaient notés chaque matin, à son réveil, sur un carnet posé à dessein sur sa table de chevet. Il avait lui-même ensuite relié ce journal très intime pour en
constituer deux volumes. A sa mort, en 1993, ce document fut déposé dans le coffre d'une banque romaine par ses héritiers" écrit Jean-Luc Douin dans "Le Monde des Livres"
du 16 novembre dernier, à l'occasion de la sortie en librairie de "Le Livre de mes rêves" de Federico Fellini (chez Flammarion, 584 pages, 89 €)
Si l'interprétation des rêves ont fait palpiter Freud, et tous les psys post-modernes, il n'en ont pas moins alimenté, concernant Fellini -et me concernant peut-être un jour !- un fantastique
bassin d'imagination et de création.
*
Qu'en pense le curé de "Cucugnaux" ?
Cugnaux est une ville moyenne de la couronne toulousaine. Son cimetière est plein comme un oeuf. A tel point que le maire a pris un arrêté qui "interdit de mourir sur le territoire de la
commune". L'aspect insolite de histoire a plu et a été repris par de grands médias nationaux.
La même semaine, plus discrètement, la presse locale a relayé une information qui, passée plus inaperçue, semble avec ironie conforter le trop plein municipal : deux cerceuils du cimetière de
Cugnaux ont été exhumés, dans le cadre d'une enquête...
Alphonse Daudet aurait-il puisé une inspiration dans cette clochemerlesque histoire...
Le curé de Cucugnan transposé a Cucugnaux...
*
Chaussure à son pied.
"Le Journal du Dimanche" de ce jour m'apprend que les femmes s'offrent, en moyenne, cinq paires de chaussures par an.
Fort de cette constatation, un patron a lancé un site de vente en ligne. "L'internaute visualise désormais les escarpins, baskets ou bottes selon sept angles différents, y compris sous la
semelle."
JF
Raoul Jefe
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"Je referme le livre-pierre tombale. Par mégarde, je vais m'y oublier un peu."
Joël Fauré (Carnets)
Raoul Jefe