L'employé aux écritures : En y mettant un peu de bonne volonté... Ce n'est pas le moment de devenir à votre tour nostalgique d'un parquet de faïence. Voyez un peu la place que ça prend... (Il désigne le texte du nostalgique des années soixante-dix.) Sans...
Lire la suiteL'employé aux écritures : Ne me dites rien. J'ai beaucoup de choses à vous dire. Pour les cubes, on peut se passer d'explications. Pour le perroquet, il est parfaitement boulé comme vous pouvez le constater. Pour le fournisseur de pneus des autocaristes,...
Lire la suiteDEUXIEME ACTE La même grande pièce qu'au premier acte. Le perroquet, dûment boulé, dénué de tout effet vestimentaire. La cabine téléphonique. La table, encombrée de trois boîtes de chaussures et du jeu de cubes. L'employé aux écritures est attablé et...
Lire la suite"1e PROJET" (Isabelle et Nicole N.) "Ce projet est insuffisant. (...) Néanmoins, je te l'envoie. (...) Nous sommes sûrement très loin de ta pièce et de tes souhaits. Amitiés" N. "Grand et chaleureux merci à vous deux. Avec mon bon souvenir." Joël
Lire la suiteL'employé aux écritures : C'est que... Je vous trouve bien prompt à tout anatomiser, monsieur le fournisseur de pneus des autocaristes, accessoirement autocariste. Allons à l'essentiel : vous l'avez rencontré où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ? Le fournisseur...
Lire la suiteL'employé aux écritures : Madame la porteuse de bottes, Madame la Botteresse, Madame la Cuissardesse, vous allez enfin me permettre de réaliser mon rêve le plus inavouable : caresser les longues bottes, placébo oui-je-sais de la douce peau des femmes...
Lire la suite"DEDICACE AU SOLEIL", Eau-forte d'Arthur de Gravillon (1865) (La botteresse retire ses bottes qu'elle agite au-dessus d'elle : il en tombe une pluie de confettis.") "L'employé aux écritures" (Joël Fauré)
Lire la suiteL'employé aux écritures : Au musée Saint-je-m'y-perds, je vais souvent caresser les bottes de plâtre -très réussies- d'un capitaine d'infanterie. Il en impose. Chapeau au statuaire qui a moulé cette figure en pied. Bottes immortelles qui ne se crottent...
Lire la suiteL'homme : Monsieur, je vous dis : "Bonjour". J'ai vu là-bas quelqu'un qui m'a laissé entendre que vous ne pouviez pas me voir. Je comprends maintenant pourquoi. (L'employé aux écritures retire la main de ses yeux.) L'employé aux écritures : Vous n'êtes...
Lire la suite(L'employé aux écritures s'assure que la permanente de fonction est bien partie. Avec méticulosité, il place un pied devant l'autre sur la ligne jaune, un peu comme un funambule, en jouant de ses bras pour balancier.) L'employé aux écritures : Dès qu'on...
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